17 oct. 2010

MARATHON LA ROCHELLE PREPA 4/10 (semaine assimilation)


Lundi : c'est sushi --> déjeuner avec Guillaume et Aude en lieu et place du cours de fitness.
du coup 1 h de grand n'importnawaq à la maison le soir... et vas y que je te fais des abdos et vas-y que je te fais un coup de Swiss ball (à genou, assise, abdos, dorsaux) et vas-y que je te fais du banc de muscu (pas longtemps) et du gainage et je finis avec les écouteurs à danser dans le salon comme quand j'avais 15 ans sous l'oeil ahuri mais amusé de mes enfants planqué dans le couloir et dont seul le bout de nez dépasse par la porte entrebâillée.
Calories : ??? 200 ? 400 ?? 1 000 ??? 1 000 000 ??? bof j'sais pas
Intérêt pour la prépa : ???
Intérêt pour le moral : +++++ :-D

Mardi :
Midi : 1 h 15 en endurance. Il fait le temps idéal : soleil et petit vent frais, température 16 °C.
Je suis partie en 4ème vitesse et j'ai mal rincé mes gourdes.
Première goulée et hmm un merveilleux goût de liquide vaisselle envahit ma bouche.
Je referme le clapet de ma gourde et OOOh une tite bulle s'en échappe - c'est jouli comme tout.

30 première minutes sans se fouler à 6:34 du km- 137 bpm puis je me retappe un autre petit coup de paic citron et là démarre 40 minutes un peu plus rapide (faut que j'envisage sérieusement le paic pour le marathon).
donc 40 min à 6:15 du km - 144 bpm

TOTAL : 11 kms et 800 kcal.
Le mardi est ma journée préférée (hip --> ooooh une autre bulle !)

Soir : piscine et je me rends compte de plus en plus que l'eau n'est vraiment pas mon élément de prédilection.

C'est pour ça que la natation sera mon nouveau challenge pour 2011.
Au même titre que la course à pied m'était insupportable il y a quelques années, je ferais de la natation, un sport que j'apprécie.

Le rapport entre la cap et la natation est vraiment similaire car je me souviens en nageant des sensations que j'avais au début de ma pratique de la course à pied.
Quand je constate aujourd'hui à quel point j'aime la cap, je me dis que la natation ne pourra pas être autrement si je persévère.

Mais pour l'heure et pour me motiver encore plus, je m'offre une séance balnéo en fin d'entraînement.

J'ai donc crawlé pendant 1 km (30 min) puis je suis allée dans le sauna dont j'adore la chaleur enveloppante.

Dommage qu'il y avait tant de monde dans le jaccuzi, car j'aurais bien aimé bouger un peu plus pour pouvoir positionner mes jambes sur les jets.
Mais en tout cas ça m'a fait un bien fou au dos, et au moral.

Mercredi : 2h38 de ménage est-ce que ça compte dans l'entraînement ?
mouais - en tout cas c'est pas super ludique.

Jeudi - 1h30 dont 2 x 10 min au seuil - 1'30 de récup entre chaque

En analysant les dernières photos prises par Tugdual, je me rends compte que ma foulée est super bizarre. j'ai l'air gainée jusqu'au genou et en dessous c'est WALOU... la fête du slip...
On dirait que je danse le Charleston !!! Bref je cours comme une gonzesse !

Autant à faible allure ce n'est pas gênant, autant quand je vais au-dessus des 5:30 du km, cela devient pénible pour mes tendons et mes rotules.

Jusqu'à présent je n'avais pas de soucis, car je peinais à aller au dessus de 6min du km, mais maintenant que les sensations sont bonnes et que je progresse, ça ne le fait plus du tout. :-(

première heure en endurance, j'ai la frontale éteinte et dans la main.
J'aime bien courir la nuit, je me sens plus légère. Enveloppée dans l'opacité du noir, mes sensations sont décuplées, je me sens encore plus vivante.

Attention je préfère la nuit du soir plutôt que la nuit du matin (le matin c'est tout simplement impossible pour moi de faire un quelconque effort physique).
En fait je suis une créature de la nuit, ça doit être sûrement ça l'explication.

Un prémices de crampe à l'ischio gauche essaie de me chatouiller (ça fait 2 jours qu'elle me cherche cette crampe) mais tout est sous-contrôle et j'ai juste l'ischio un peu raide.

Voici le temps des fractions :

1ère fraction avec la frontale bien en place. C'est moins dur que les autres semaines
mais zut, mon genou recommence à grincer un peu en fin de fraction.

ça m'énerve de ne pas pouvoir courir aussi vite que je veux...

Je commence ma dernière fraction et il se passe un truc :

Naturellement ma foulée se modifie et la douleur disparaît.
L'ostéo m'avait dit que le corps détestait avoir mal et faisait tout pour se soulager lui-même.
Je commence à le croire.

En fait je lève plus haut les genoux et j'augmente la cadence de mes foulées. En me penchant légèrement en avant je commence à prendre de la vitesse et atterrie encore plus sur l'avant du pied.
Je fais vite le parallèle avec le mouvement sur le vélo.
C'est comme si je moulinais bien assise sur ma selle.

Mes muscles qui n'ont pas l'habitude de travailler comme ça, chauffe dur au niveau des cuisses et des mollets. mais je fais une pointe à 4:38 du km et suis à 4:51 de moyenne sans grosse difficulté et en aisance respiratoire, en plus mes pulses sont plus basse que d'habitude pour un effort plus intense.

Je me sens comme un super-héros qui vient de découvrir ses nouveaux pouvoirs et qui ne contrôle pas tout.

Et si j'avais trouver le sésame qui ouvre les portes de la rapidité sans douleurs ???

1h07 - 141 bpm - 10,3 kms
10 min au seuil - 162 bpm - 5:10 au km
10 min au seuil - 169 bpm - 4:51 au km
3:15 jogging - 500 mètres
TOTAL : 15,3 kms - 1 140 kcal

Vendredi : la piscine du midi est annulée aujourd'hui et pour les 5 prochaines semaines de plan. La séance seuil est tout de même assez exigeante et je sens qu'il faut que je récupère.
je pourrais nager mais ça serait au détriment d'une bonne prépa.

Vers 18 h 00, je ramène les enfants chez leur père en Bretagne.
4h 30 de route et je rentre à 23 h 00 complètement cramée.

Samedi : 40 min en endurance

l'aller/retour St Cast<->Nantes me laisse à chaque fois sur le carreau.

Je cours plutôt motivée par une météo clémente et par mon look de danseuse (legging, short, jambière) mais les pulses, ralalala, elles sont, comment dire simplement ??--> à chier !

De toute façon, à chaque fois la route du vendredi soir me tue de fatigue.
Mais les sensations sont bonnes.

Au bout de la séance, il me reste un peu de chemin pour rentrer, je me fais plaisir et me lâche pendant 5 min.
Faut bien que je mette en pratique ma théorie et découverte de jeudi tout de même !!
Et bien ça re-marche, mais les pulses sont plus hautes (vraiment la fatigue de la veille est latente)

Résultat - 7 kms - 560 kcal:
40 min - 149 bpm - 6,1 kms
5 min - 164 bpm - 5:33 du km - 0,9 km

Tout de suite après, j'improvise une petite chorégraphie sur la pop acidulée de Kylie Minogue ; et clôture mes trémoussements par un grand écart pas vraiment voulu (oups, tout va bien, je viens de gagner 2 cm de jambe).

Je remets mes hanches et mes genoux dans le bon sens et puis je fais mes étirements et file sous la douche.

Direction l'esthéticienne, offerte par mes copines (dois-je y voir un message subliminal ?)

Elle me nettoie, me triture et surtout me masse le visage, le décolleté, les épaules et les mains.
manque plus que les pieds et je l'épouse.

A peine le masque fini d'étaler que je suis déjà en méditation profonde (entendez : je dors comme une bûche et oserais-je l'avouer?....j'ai même ronflé -->c'te honte!)

J'ai bien fait de faire ma séance avant, parce que là c'est tout bonnement impossible, j'ai l'énergie d'un bulot cuit. Allez zou je retourne dans ma coquille pour une petite sieste.

Élucubrations, truculences et autres anecdotes:
Cadence : J'ai compté le nombre de foulées sur plusieurs séances et elles sont aux alentours de 88.
Les pros ont une cadence de 90 à 100 sur marathon."

Voilà qui vient étayer ma découverte de jeudi... hé hé hé.

Et je passe sur le fait que j'ai pratiquement une cadence de pro hein !! non non je ne le relève pas, je suis trop modeste pour ça voyons.

Dimanche : Semi-marathon de Niort
En prévision : 19 kms à 5:30 du km et 2 kms à 5:15 (total 1 h 55 environ --> - moins 2 min sur le semi de mars) - quelqu'un m'a dit qu'il était roulant et qu'on pouvait se taper un chrono, ça me donne de l'espoir.

Rencontre avec Twister - pour l'occasion j'ai acheté du maquillage waterproof, pour qu'on voit plus mes yeux que mes joues rouges à l'arrivée ;-) - ça c'est l'effet esthéticienne de la veille, je me pink-poufise.
Et puis y a mon papa qui m'accompagne - j'ai une pression de folie !
voilà ma liste pour courir :


Pendant l'échauffement une pointe de côté, (échauffement en montée et en descente uniquement) et déjà au départ je voulais crier "Maman au secours, qu'est-ce que je fais là !"
Un pressentiment comme quoi j'allais en baver sévère sur cette course.

J'avais repéré un peu le parcours et m'étais aperçue que c'était plutôt vallonné.
Twister m'avais prévenue qu'il y avait des faux plats et de la relance.
Mais inconsciemment je n'avais pas vraiment entendu.
C'est comme pour le profil de course, je ne regarde jamais avant d'en faire une.
Je vérifie tout sauf ce point. Ce n'est pas voulu de ma part, je pense jusque que c'est un véritable acte manqué.

Le départ a été très très lent et en descente.
Il y avait un monde fou (2 500 participants) et les rues étaient étroites.
J'ai perdu facilement 2 minutes et je ne pouvais pas doubler (2 min que je ne rattraperais jamais par la suite)



Concernant le parcours : Niort est une très jolie ville....pour se balader.
ces 21 kms étaient faits de bosses, de cuvettes, de faux-plats et de descentes.

Un truc de bien, c'est que je sais optimiser les descentes maintenant pour gagner du temps sans me faire mal et relancer derrière.

A aucun moment je n'ai pu me dire, cool du plat je vais pouvoir me reposer un peu et laisser dérouler mes jambes.

Au début je me suis questionnée, j'avais l'impression que je n'étais pas en forme, mais finalement, c'est bien le profil du parcours qui était difficile. Tony me le confirmera au téléphone à la fin.

Moi à l'agonie : c'était dur non ? (sous-entendu : je t'en supplie dis-moi que t'en as chié toi aussi)
Tony : oui y avait beaucoup de relance, pas facile du tout.
Anne derrière la voix de Tony : OUI super Dur

1er km j'ai vu Twister et Papa, tout sourire je me dis ça y est la course est lancée.

A partir du 5ème km c'est dur et je me mets dans ma bulle. Je ne verrais plus rien de toute la course.

jusqu'au 10ème (passé en 55 minutes) je tiens le coup et l'allure à 5:30 du km.

du 10 au 13ème je commence à me demander ce que je fous là et quand est-ce que je vais voir un peu de plat, au moins pour pouvoir me sentir à l'aise une fois sur cette course.

Depuis le 10ème kilomètre, mon estomac danse la gigouillette et je commence à ne plus supporter de boire sucré.

du 13ème au 16ème je ralentis car mes intestins s'y mettent aussi et j'ai mal aux jambes. Je commence à être usée par les bosses.

A partir du 16ème et à un moment j'ai cru que Valérie Damidot avait débarqué avec toute son équipe dans mon ventre pour "tout changer en 30 minutes".
"Mes chouchous mes loulous, la rate vous la mettez à droite et l'estomac à la place du foi, on va faire un peu de Feng Shui dans tous ce bazard"
Et moi j'ai failli participer au ravalement en repeignant la bordure de trottoir couleur pêche- chocolat (boisson isotonique et cake sport)

16ème 19ème km : je ré-accélère pour me mettre à 5:40 du km. et c'est toujours aussi valloné, j'en ai ma claque.
Je pense à abandonner. Une petite voix me dit alors : "l'abandon n'est pas une option et si tu le fais, je vais te harceler jour et nuit pendant un bon bout de temps" - OK je vais le finir ce semi mais après, plus jamais de ma vie je ne ferais de compétition.

19ème 20ème km : je double plein de gens, et je me fais redoubler et ainsi de suite.

20ème 21ème km : je me dis là, il est temps de tout lâcher pour en finir. Sauf que nous terminons par une grosse bosse et que ce sera le kilomètre le plus long de ma vie.

Arrivée près de l'animateur, je suis seule, rouge, au bord de l'évanouissement, les cheveux trempé par 2 bouteilles d'eau que j'ai vidé sur ma tête ; bref le glamour à l'état brut.

Il demande à la foule de scander mon nom et je me dis que la moindre des choses c'est quand même de leur faire plaisir en piquant un sprint pour leur montrer qu'ils me font du bien. Je remets un peu la gomme mais je suis loin de sprinter et j'arrive enfin sous l'arche.

Groggie, hébétée, la bouche ouverte qui cherche l'air.

Virginie le poisson sorti de son bocal. Je n'entends plus rien, je ne vois rien. On me dirige à droite, à gauche, tout droit. On m'emmènerait à l'abattoir que je ne broncherais pas. Je suis déshydratée, la bouche en carton pâte, j'ai avalé une dune et ne rêve que de boire. Il ne me reste que cette saloperie de boisson isotonique et rien que l'idée de son goût me donne la nausée.

Un truc qui me rassure tout de même c'est que du début à la fin j'ai toujours vu les mêmes têtes autour de moi et que certain ont vraiment craqué au 16ème kilomètre.

Jusqu'au 16ème je pensais qu'il n'y avait que moi qui souffrait et ça m'inquiétait mais ensuite j'ai compris qu'on vivait tous plus au moins la même chose.

Bref, je me dis que finalement je n'ai pas trop trop mal géré cette course. Même si c'est plus elle qui m'a gérée que l'inverse.

Suis-je déçue ou contente ?

1- je suis contente parce que j'ai terminé
2- je suis contente car vu la difficulté du parcours je n'ai mis que 3 min de plus que sur le dernier semi
3- je suis contente parce que mon genou n'a absolument donné aucun signe de problème
4- je suis contente d'avoir rencontré Twister et son mari qui sont très sympas

1- je suis déçue car on m'avait dit que c'était roulant, du coup je pensais faire mieux qu'à St André des eaux (j'espèrais 1 h 55)
2 - je suis déçue parce que je me rends compte de plus en plus qu'il me sera impossible de faire 4 h sur marathon - peut-être 4 h15 ?
3- je suis déçue que papa n'est pas eu l'air un tout petit peu impressionné par ma performance (il était subjugué par les premières mais je n'ai pas réussi à lui faire comprendre qu'1h15 n'était pas envisageable pour moi)
4- je suis déçue car j'ai eu mal au ventre tout du long et n'ai pas supporté la boisson isotonique - ; le goût sucré m'a écoeurée et je ne pouvais même pas envisagé de prendre un gel à la place tellement la nausée était profonde.

Je pense que j'ai fini la course déshydratée, je ne pouvais presque plus déglutir.
J'ai sifflé 1/2 litre d'eau à l'arrivée d'une traite et je n'arrête pas depuis.

Enfin, papa s'est encore pris une énorme gamelle comme au triathlon de Nantes et est bien amoché (aux mêmes endroits).
Je stresse pour La Rochelle car il est comme un enfant de 5 ans qui fait des bêtises quand il n'y a pas d'adulte pour surveiller.

Il était énervé parce qu'à l'arrivée, il criait mon nom et que je ne l'ai pas vu et ne suis pas venue le voir (c'est pour ça qu'il est tombé ensuite car il était fâché).
Tu parles j'étais sonnée comme un boxer qui s'est pris un KO et je ne voyais rien, ni n'entendais rien.
Comme une automate je me suis dirigée vers la sortie sans le voir.
D'ailleurs je n'ai rien vu de la course, j'étais dans le rouge tout du long.

Bref c'est chouette tout de même mais pas pour le faire à fond.

Je suis contente dans l'ensemble car j'ai tout donné (vraiment) et au final si je retire les minutes perdues au départ - je ne suis pas si loin de st André.

Mais du coup ça ne me rassure pas pour la Rochelle, car j'ai plus souffert qu'au marathon de Nantes.
Ce semi c'était comme un éternel 37ème km - les jambes dures, les pieds durs, le souffle court et jamais à l'aise, crevée dès le départ.

Bref bilan mitigé, mais contente d'avoir été au bout de moi-même.

Total : 21,100 kms - 2 h 00 (à ma montre) - 1 900 kcal

Bobologie : rien

total km courus : 54,4 kms
total kms à velo : 0 km
total km crawl : 30 min
Etirements : 1h 15
Nombre de Kcalories : 4 700
temps d'entraînement : 8 h 15
fatigue : Néant

Feeling : qui vivra verra.

nota : j'ai plagié un peu Florence Foresti avec la référence à Valérie Damidot.

11 commentaires:

Anonyme a dit…

j'ai beaucoup aimé ce post ! bravo !

lydie a dit…

Bravo,tu la finis c'est déjà pas mal et pour ton papa tu le met dans l'estrade à la Rochelle ,il te verra et pas bobo comme il sera assis . Bonne récup

Anonyme a dit…

Tiens, je me demandais si un jour ou je "loupe " une séance de CAP d'endurance, je peux la remplacer par le même temps à courir euh ... sur mon trampoline, ou à faire de la corde à sauter sur mon trampoline ?
l'idée étant de faire du cardio.
est-ce que je peux considérer que ça a la même valeur ? qu'en penses-tu ?

Virginie_l a dit…

A mon avis tu ne tiendras pas aussi longtemps sur ton trampoline ou ta corde que la séance d'endurance prévue.
1- parce que ça ne sera pas de l'endurance mais de la résistance voir du seuil
2- parce que tu vas t'ennuyer au bout d'un moment.

Mais ça peut participer à ton entraînement de PPG :-)

Anonyme a dit…

merci pour ta réponse Virginie.
Résistance ou seuil, ça veut dire que ma fréquence cardiaque serait trop élevée pour travailler l'endurance ?
et kesako PPG ?

Virginie_l a dit…

oui tu seras forcément au dessus de l'endurance.
PPG = préparation physique générale
soit : abdo ; muscu ; gainage et renforcement musculaire en tout genre

Anonyme a dit…

ah ben génial le PPG, justement, jusque là je n'en faisais pas, mais j'ai aménagé mon planning de la semaine pour caser une séance de renforcement musculaire. impec !
quand je ferais du trampoline, je regarderais à quelle FC je suis, maintenant que mon chéri m'a acheté un cardiofréquencemètre !

Virginie_l a dit…

amuses-toi bien

Anonyme a dit…

merci !

Frédéric a dit…

Salut,
Ta semaine a été difficile ce qui explique peut être les 5 min qui te manquent au semi. Mon meilleur semi (1h51) je l'ai fait sans être crevé, comme sur un nuage, je suis arrivé fatigué mais sans plus une course parfaite avec accélération sur les 3 derniers kilos. On ne peut pas relier fatigue et performance c'est assez étonnant. Attention ne te crame pas trop avec des courses avant la Rochelle. De mon coté je n'en prévois aucune à allure "course", j'ai juste fait les 20k de Paris en jogg avec ma femme... ce dimanche j'ai fait 25k en 2h30, c'était fabuleux, il faisait si beau, j'ai pris un pied monstrueux. N'oublies pas aussi de te faire plaisir dans ta préparation. On court pour le fun...aussi.
A+ peut être à la Rochelle !

Virginie_l a dit…

il faut que je regarde ma semaine avant le semi de St André. Car j'avais fait aussi un semi pour la prépa de Nantes et c'est là que j'ai fait mon meilleur chrono.

ce qui est dur pour moi c'est de faire une course en m'économisant. Je pars avec l'idée de ne pas me faire mal et c'est plus fort que moi faut que je pousse à fond.

et je me fais super plaisir dans cette prépa. Le semi fait parti de ce plaisir (même si j'en ai bavé - je sais c'est paradoxal ;-) )