10 août 2010

ALLO MAMAN BOBO !!

Jeudi : il pleut des trombes et j'ai le moral dans les chaussettes.

c'est vrai, je n'ai que 3 semaines de vacances et j'ai passé un hiver très rude cette année.

J'ai besoin de chaud et de soleil pour me régénérer afin de reprendre le travail pleine de vitalité.


C'est râté avec le Jura, vu que même quand il y a du soleil, la température ne dépasse pas 17 °C.


C'est de notre faute, on aurait du mieux se renseigner avant de louer.

Nous on pensait qu'il ferait le même temps que dans le massif central c'est à dire chaud et sec - un climat un peu plus continental en fait.


Du coup on va à Annecy pour visiter notre magasin WalkingShop.


Tugdual a complétement craqué sur les EVO quand je lui ai montré l'article dans wanarun et il n'y a que ce magasin qui les distribue en France.





A l'intérieur : le paradis. Enfin le paradis pour les gens comme nous qui sommes fous de chaussures techniques.


Toutes les marques dont on rêve : Ecco, Rockport, Terra plana Vivobarefoot, Shape ups, Fitflop, Salomon Relax & Via etc... et un vendeur adorable. Le père de la propriétaire, mélange de hippie branché et de figure paternelle cool.


Je tombe nez à talon avec les Shape-up de Sketchers. Je les trouve absolument affreuses et en même temps totalement séduisantes.

Il faut que je les essaie, il faut que je sache.


Une fois aux pieds, le coup de foudre. La semelle épouse parfaitement ma voute plantaire, reposant mon talon. Du coup mon dos se redresse.




Moi qui souffrait des lombaires depuis le voyage en voiture, c'est un miracle. Plus aucun point de tension.


Je fais quelques pas et m'aperçois que l'amorti est fabuleux. Je stabilise la bascule de la chaussure naturellement et du coup c'est tout mon squelette qui en ressent les bénéfices.


Bref, impossible de me les retirer des pieds sinon je fais une crise et vais bouder dans mon coin...je ne veux plus les quitter.


Partis pour acheter des EVO, nous ressortons avec les shape-ups en prime (décidément, il faut qu'il arrête de pleuvoir, sinon mon porte-monnaie va rétrécir comme peau de chagrin).


Nous marchons dans les rues d'Annecy, en tout sens. ça me fait bizarre dans les articulations...c'est la phase d'adaptation.


Au bout de 2 h 30 nous revenons à la voiture et je lis enfin les instructions des chaussures.

Il ne fallait pas dépasser 45 minutes de marche la première fois (sic).

Mouarf : faut dire que sketchers ne s'adresse pas qu'à des sportifs.


Et il est vrai je pense, que pour un sédentaire, ça doit pas mal bosser les muscles des jambes. Moi j'ai senti un tout petit chouia mes ischios et un truc bizarre sous la fesse.


Pour ma part, je n'ai pas de courbature et ne crois absolument pas que cette chaussure puisse me muscler - faut pas exagérer quand même !


Pour la cellulite, je me marre intérieurement - les gens du marketing sont tout de même vachement bons.


Faudrait quand même pas prendre les canards sauvages pour les enfants du BonDieu aurait dit ma mère.


En plus avec tout le velo, la cap et la natation que je fais ça serait un comble que des chaussures à bascule, là comme ça juste en marchant me musclent autant sinon plus.


Mais pour le dos alors là, c'est indubitable, que dis-je c'est miraculeux...c'est...c'est merveilleux !!!


Le lendemain, aucune courbature et je les rechausse avec un grand plaisir : je suis accro.


Vendredi : il fait à nouveau soleil mais quel froid. Nous avons décider avec manamoureux de repartir mardi prochain au lieu de dimanche 15 août.

Parce que vraiment, le froid c'est pas mon truc.

J'ai ressorti le col-roulé et le pull en laine et pour un mois d'août ça me met passablement les boules.


Sortie vélo : j'ai acheté un nouveau cuissard chez D4. un cuissard homme à 2 balles mais dont les coutures sont situées bien plus bas sur les cuisses que mon super cuissard de compète de la mort qui tue, qui m'a coûté un bras d'enfant.


Du coup plus aucun frottement et le bonheur pour mon fessier.





Reste le problème de contracture des omoplates et des trapèzes, vraisemblablement à cause d'une sombre histoire du muscle grand dentelé qui ne seraient pas assez costaud et qui me causerait bien du tracas au quotidien.

Saloperie de dos de M*****.


Nous partons vers la Suisse pour faire le tour du lac - environ 50 kms-

Nous sommes rejoint par un autre cycliste fort sympatique avec qui nous ferons une 20aine de kilomètre.


Le hic c'est que c'est bien la première fois que je roule dans un si gros peloton (3 personnes moi y compris)et que du coup je ne sais pas où me mettre.


En arrière ? en avant ? au milieu ?....oula non pas au milieu je ne suis pas assez maître de mon véhicule pour ça.


Du coup je me mets en arrière mais alors de ce fait mes deux compagnons se mettent à ralentir pensant que j'ai du mal à suivre.


Alors je ralentis aussi pour ne pas me retrouver au milieu.


On fini à 18 kms/h et franchement je commence sérieusement à avoir mal au cul et au dos à cette allure car mon geste n'est plus assez fluide et pis c'est plus dur de maîtriser le vélo à faible allure.


Alors je les double pour aller à mon rythme (environ 23/25 kms/h) et ils me suivent.


au bout de 25 kms j'en ai plein le dos. Mais alors vraiment plein le dos.

Ma nuque est raide et nous décidons avec Tugdual de faire une pose massage du cou de Virginie.


Une fois mon cou remis dans le bons sens, nous enfourchons à nouveau nos vélos et finissons la boucle, par la fameuse côte qui mène au gîte (9% sur 1,8 kms).


Je suis déjà morte en bas de la côte et Tugdual me filme tout du long en se marrant - j'ai envie de le mordre.


En plus avec le froid j'ai le nez qui coule et franchement sur le velo c'est ni super pratique, ni super glamour.

Rajouter à cela la tête de winneuse que me fait le casque et vous aurez l'image instantané d'une neuneu qui se prend pour Jeannie Longo.


Hop nous voilà chez nous et mon visage est marqué de fatigue. ma cicatrice sur la joue est encore plus apparente qu'à l'habitude et les sillons nasogéniens sont creusées comme jamais. Le vert de mes yeux est presque transparent bref je ressemble à un poisson suffoquant hors de l'eau.


Tugdual ressigne pour 25 kms de plus. Moi je l'abandonne trop contente d'aller me prendre un bain bien chaud et de dormir un peu.


L'après-midi nous irons tout de même faire quelques longueurs à la piscine de Morbier. Mais le nombre de gamins au mètre carré n'est pas propice à effectuer des longueurs sans arrêt.


Au bout de 7-8 j'en ai ma claque et je sors de l'eau .... ça ira bien pour aujourd'hui.


Samedi : Je souhaite faire quelques bosses mais pas de col et un peut de plat et le tout pas plus d'une heure parce que je veux courir un peu aussi.


A un moment Tugdual tourne à droite et pfiout nous voilà partis pour 5 kms de descente vertigineuse. Moi qui ne fait du vélo de route que depuis 1 mois, je suis à la noce. La peur au ventre je dévale à plus de 45 kms/h (je sais c'est peu pour une descente mais je suis cramponnée au frein) et les virages en lacets se succèdent, entremêlés de voitures et de motos. C'est bien simple, si je m'écoutais je fermerais les yeux pour ne plus rien voir du carnage.


La descente fait en tout 10 kms mais nous arrivons à nous parler avec Tugdual et stoppons de concert sur le bas côté entre deux virages.


Il faut traverser la chaussée pour repartir en sens inverse (super dangereux, on ne voit pas les voitures arriver) et courir le velo à la main et les chaussures autobloquantes aux pieds n'est pas une mince affaire.


1 mois que je fais du velo, je vous dis, et il m'emmène dans des galères de cyclards chevronnés !!


Maintenant il faut redémarrer en côte et réussir à brancher ma godasse dans le câle-pied sans me vautrer comme une grosse crêpe sur la route. Tout ça en évitant les voitures qui arrivent à fond et ne nous voient qu'au dernier moment.


Au bout de 2 essais, le 3ème est concluant. Je peste sur mon manque de capacités et c'est la trouille et la hargne au ventre que je commence l'ascenssion.


5 kms de côte à 9%, je ne vais pas bien vite mais je monte, je monte, je monte.


Arrivée aux Rousses, nous achetons des bananes car la faim se fait sentir et je n'a pas envie de galérer pour rentrer.


nota : en vélo je n'ai pas du tout envie de sucré comme en cap. J'ai plus envie de barre de céréales ou de fruits secs.


De retour sur du plus plat, j'y vais bon coeur. Tugdual est un peu oxy et en a marre.

Je suis devant à fière allure (27/30 kms/h) pendant 7-8 kms.


Et nous voilà encore en bas de la fameuse côte. Alors là je n'ai pas l'intention d'y passer ma vie.

Je tire comme une malade sur mes pédales et j'avance tête dans le guidon me promettant de ne relever le nez qu'une fois en haut.


Tugdual s'accroche et nous hahannons de concert pour atteindre l'objectif.

Je vais plus vite qu'à l'accoutumé car j'arrive à maintenir un petit 15 kms/h au lieu des 12 habituels.


Une fois en haut, nous sommes cuits, mais je veux partir faire mon tour de course à pied.


Nous redescendons en voiture cette fois-ci pour aller courir dans le centre du village qui est plus plat.

Tugdual n'est pas très motivé car il est fatigué par le vélo et sa contracture au mollet le chagrinne.


Nous partons par le tour du terrain de jeu/foot. Ce n'est pas bien glorieux comme cadence. Je me sens molle et lourde et mon coeur bât bien trop vite pour mon allure.


Au bout de 15 min nous voilà dans un petite côte. Tugdual se met à marcher pour ne pas solliciter trop son mollet et moi pour faire redescendre les pulses.


Puis Il me dit qu'il préfère arrêter là. Je continue car j'avais prévu de sortir 1 heure mais je lui dit que je ne ferais que 30 min tellement je suis crevée.


Décidement le vélo m'a mise KO. Au bout de 31 minutes je le rejoins pour les étirements. J'y passe 20 bonnes minutes et ça fait un bien fou.


L'Après-midi nous allons à Genève. C'est magnifique sous un soleil et une chaleur de plomb tout comme j'aime.


Ce qui me surprend c'est le calme des rues. Bien que ce soit la fête du lac et qu'il y ait une fête forraine, il n'y a pratiquement pas de bruit.


Je tombe sur un magasin fabuleux : Globus. Une épicerie/supermarché fine où les produits sont à tomber.


Tugdual me sort par la peau du dos avant que je ne dévalise tout.


Je réussis tout de même à acheter de quoi nous faire un bon casse-croûte/goûter :

pain, fromage, raisin, et coco séchée.`

Que nous prenons face au lac et aux cygnes avides de nos miettes.


Nous avons marché comme des fous tout l'après-midi et mon dos me tire.


total journée : 32 kms vélo + 5 kms cap + 5 kms marche.


Dimanche : c'est la journée récupération...enfin c'est ça que j'avais prévue car je sens que je suis très fatiguée musculairement.

Mes cuisses sont dures dès le réveil et j'ai l'impression qu'on a boxé mes fesses toute la nuit.


Mais manifestement mon compagnon en a décidé autrement.


Après un petit déjeuner frugal et un dîner de veille au soir qui a jouer les arlésienne car Tugdual n'avait pas faim :


- tu m'étonnes ! un plateau de fromages à 17 h avec 3/4 de baguette en accompagnement ça te tue un dîner-


Et comme je n'avais pas le coeur à cuisiner pour moi toute seule, je n'ai mangé que 3 kiwis et zou au lit tellement j'étais crevée.


Tugdual m'annonce donc que nous allons faire une rando dans la montagne.


Moi je me dis qu'après tout, marcher ne me fera que du bien.


Sauf que ladite rando fait 14 kms et 500 mètres de D+.

A cela vous rajouter les 3-4 kms aller/retour de notre côte fétiche maison/bourg qui fait 150 mètres de D+ et vous obtenez notre parcours santé/récupération.


Nous partons comme des touristes avec seulement 750 ml d'eau, et quelques amandes mais sans oublier mes lunettes de soleil (des touristes je vous dis).




Pas de ravitaillement et j'ai déjà une fringale au bout de 30 minutes de marche.


On commence l'ascencion par un mur de pierre d'au moins 200 mètres.


et on crapahute comme ça pendant 2 h 40 en montée pratiquement non-stop.

J'ai mal au dos, aux pieds, aux ischios et aux fesses.


Par moment j'ai la tête qui me lance et des nausées.


Je ronchonne et râle et pis d'un coup je me mets dans ma bulle en mode automatique. Je suis résignée, faut que j'avance.


Tugdual me demande si je veux faire demi-tour. Alors là sûrement pas, il me connait mal. L'abandon ne fait pas parti de mes options.


J'y suis, j'irais, je verrais, je vaincrais cette saloperie de Mont Saâla.


Nous arrivons en haut - 1 512 mètres d'altitude- et la vue est imprenable puis nous redescendons.







Je dois dire qu'autant les montées sont déprimantes, autant les descentes sont usantes.


fatiguée


J'en ai marre de cette montagne, mais marre !!!




J'ai tellement mal au dos, au fesses et aux cuisses qu'à un moment je crois bien que j'ai un début de sciatique.


(mon tendon côté hanche est douloureux)


Et pis j'ai faim, comme jamais. Tellement faim que je mangerais bien une des vaches qui nous suit depuis 2 bonnes minutes.


Le marathon à côté c'est de la rigolade. Là j'en bave sévère et par moment j'ai même envie de pleurer.


Tugdual me dit "surtout ne va pas au-delà de tes limites tout de même" je me retourne et lui dit "ah ben ça fait 2 heures que j'ai dépassé ce stade là tu sais".


Nous dévalons les sentiers, les prairies, les alpages et les chemins caillouteux et j'ai de plus en plus mal au dos.


On s'est rationné tout du long sur l'eau et heureusement qu'il n'a pas fait chaud sinon je crois que j'aurais fait un malaise.


Arrivée en haut de la côte de notre gîte je suis tordue de douleurs.

Je ne sais pas comment me mettre pour soulager mes lombaires.


Impossible de me redresser, impossible de tenir assise. La position foetale ne m'est d'aucune utilité.


Je me prépare une bonne salade/repas (oeuf, jambon, asperge, tomate, artichaut, feta, olive, amandes) et l'avale tout rond.

Moi qui ne mangeais plus de mammifères depuis des mois...Depuis que je suis en montagne c'est le carnage.


Puis je file dans un bain chaud où je somnole quelques minutes.

Enfin je m'évanouie dans le canapé (le seul matelas du gîte digne de ce nom et qui est assez ferme pour soulager mon dos).


Il paraît que je ne vais pas arrêter de gémir et bouger mes jambes dans tous les sens durant mes 2 heures de sieste.


Au réveil : je suis requinquée mais il est 19 heures - ah ben c'est l'heure de manger dis-donc !


Tugdual n'a pas faim (tu m'étonnes il s'est empiffré 3 oeufs, 5 tranches de jambon de parme et plein de pain arrosé de jus de raisin) mais il ne me fera pas le coup 2 soirs de suite.


Moi j'ai faim là tout de suite et il est hors de question que je saute le dîner.

Une fois repue, je me recouche dans le lit défoncé du gîte et repars de plus bel dans les bras de Morphée.


Vive le sport qui disait l'autre !!!


Après analyse, je pense que mes chaussures sont en causes dans mes douleurs de lombaires.

Ce sont des Kalenji Trail mais vraiment elles sont dures aux pieds et ma posture n'est pas satisfaisante avec.


Elles me font mal à la voûte plantaire et à chaque fois que je les ai mises pour me promener en montagne j'ai toujours eu mal au dos.


J'essaierai une prochaine fois avec des mizunos. Je glisserais sûrement mais en tout cas je n'aurais pas mal au dos, ni aux pieds.


Total semaine : 13 heures de sport

(pratiquement tout en endurance - si ça fait pas marcher la lypolise ça, je n'y comprends plus rien alors)

6 heures de vélo - 129 kms- 3 000 kcal

1 h 40 de cap - 12 kms 1 000 kcal

20 min de nage 200 mètres 150 kcal

5 heures de rando 17 kms et 600 D+/D- 1 300 kcal


Lundi : il fait enfin une chaleur torride et nous prenons enfin notre petit-déjeuner dehors pour la première fois.


Aujourd'hui Tugdual est reparti à Vélo se frotter au col du Marchairuz pour la 2nde fois. Dans un sens puis dans l'autre. La montagne le rend dingue, il est inarétable, toute son hyperactivité montagnarde me colle une fatigue incommensurable.


Mais moi là je dis STOP - et aujourd'hui c'est glandouille puissance 10, chaussée de mes shape-ups pour bien récupérer de mon mal de dos.


Je pense que la case ostéo sera nécessaire à mon retour pour qu'il me recolle le bassin et ma 3ème vertèbre au bon endroit - j'en connais une qui va encore se faire appeler Julie !


Aujourd'hui je n'arrête pas de manger et j'ai déjà englouti 1/2 baguette quand Tugdual m'appelle vers 13 h 30.


Il a éclaté un pneu et s'est pris une bonne gamelle dans la descente de Marchairuz. Il est en vrac avec son vélo dans le fossé.


Comme il me parle au téléphone, je n'ai pas le temps de m'inquiéter et file le chercher.


Je le retrouve bien amoché avec diverses éraflures et hématomes.


















ça me met en rogne de le voir cassé. Surtout qu'il rigole de sa chute et de ses blessures de guerre.


J'ai l'impression d'être la seule à avoir conscience du danger qu'il a évité.


Je pense à la voiture qui aurait pu l'écraser, je pense au choc sur la tête qui aurait pu le laisser paralysé ou mentalement déficient.

Je pense à cet instant qui fait basculer pas mal de vies et dont il a réchappé heureusement.

Je pense que nos vies auraient pu être irrémédiablement bousillées sur cet instant précis.


Mais lui non. Les yeux plein d'étoiles il me raconte que le vélo en montagne c'est merveilleux et que sa ballade était fantastique.


Dis-moi lecteur : Crois-tu qu'il est normal qu'à ce moment là j'ai envie de l'éjecter de la voiture en marche pour qu'il aille embrasser la montagne encore une fois ?


Et puis, je suis super déçue car il ne va pas pouvoir faire ni vélo, ni course à pied, ni natation pendant un bon bout de temps.


Alors que ce que j'aime le plus par dessus tout c'est de faire tout ça avec lui !


Mardi : sur le départ avec moi au volant et Tugdual en co-pilote - je le sens moyennement le périple -


Mais d'abord un petit détour par la case radiographie.


J'ai hâte d'être chez moi et de retrouver la douceur de notre cocon.


Résultat : os de la main cassé et entorse de l'épaule.

Soit 3 semaines minimum de plâtre sur la main gauche et 15 jours d'immobilisation de l'épaule/main droite.


Meuh non le vélo c'est pas un sport à impact je te dis.






























Mais de retour à la maison 2 bonnes nouvelles m'attendent :

1 - mon chat qui est de retour et nous fait une fête incroyable

2- mon bracelet power-balance que je ne vais plus quitter pendant un bon bout de temps tellement il est beau.

6 commentaires:

gaellou a dit…

Ben c'est sportif les vacances chez vous. Je suis comme Tugdual les vacances a la montagne, ca me donne la peche.
Et des vacances d'ete a 17 degres, j'en reve !

Anne a dit…

Et bien moi je suis comme toi : DU SOLEIL et DE LA CHALEUR en été rien que pour recharger les batteries !!!

Le point positif de ton séjour : les globules rouges et la technique du vélo de route en montagne.

Sinon, il c'est vraiment pas loupé ton Tugdual !!

Tu me diras comment ça se passe avec ton Power Balance ;o)

Anonyme a dit…

Vacances sportives!!! et ben dis donc, il fait pas les choses à moitié ton chéri:(( Moi aussi , je l'ai THE Power Balance!!!

nathou a dit…

C'est MOI au dessus:))

Virginie_l a dit…

ouaip - et pour lundi ce qui est rigolo c'est que je lui ai dis "tu devrais peut-être rester te reposer avec moi" et hop il tombe.

Paraît que j'ai le mauvais oeil qui disent dans ma famille :-D

Fred a dit…

TOP TOP TOP les EVO!!!! moi vouloir TOUT DE SUITE !!! ;)